Le premier casque arceau Bluetooth Parrot Zik avait déjà fait fort impression, tant par son design que par ses performances, la version 2.0 était donc très attendue et place réellement la barre encore un peu plus haut. Annoncé comme « le casque le plus avancé au monde », la promesse était belle et la réalité semble parfaitement répondre aux attentes. Voici donc le test du Parrot Zik 2.0 !
[title type=’2′ style=’regular’]Parrot Zik 2.0 prix : à partir de 242,80 € sur Amazon[/title] Certains diront que c’est cher pour un casque audio, d’autres défendront que la qualité a forcément un prix, et ils auront probablement tous plus ou moins raison. Le Parrot Zik 2.0 est un des casques Bluetooth les plus chers du marché, mais c’est également un des meilleurs.
Les lignes sont plus douces que sur la version précédente, avec des écouteurs moins imposants et plus arrondis qui donnent, à mon sens, un ensemble plus harmonieux. Le simili cuir remplace le plastique pour apporter plus d’élégance et c’est cette même matière qui recouvre le dessus de l’arceau. Le squelette est en aluminium, le métal est joliment arrondi à chaque angle apportant encore un peu plus de finesse à l’objet.
Le Parrot Zik 2.0 est plus léger que son grand frère puisqu’il ne pèse que 270g, ce qui le rend vraiment plus confortable. La courbure se règle non sans quelques efforts, mais c’est finalement un avantage puisque le casque reste ensuite toujours parfaitement en place.
Sous l’oreillette droite l’entrée mini-Jack est elle aussi en métal et très stylisée, elle semble avaler le connecteur. Les câbles, audio pour une connexion filaire, et USB pour charger la batterie sont eux aussi élégants puisque recouverts de fils tressés avec des embouts entièrement métalliques. Les finitions sont définitivement impeccables.
Le casque Bluetooth Parrot Zik 2.0 est proposé dans 6 coloris différents, blanc, noir, rouge, orange, beige et bleu, chacun devrait donc trouver son bonheur.
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[title type=’2′ style=’regular’]Commandes tactiles du Zik 2.0[/title] Comme sur le premier modèle, place désormais aux commandes tactiles. Elles permettent d’alléger la silhouette et même si beaucoup étaient réticents à la sortie du premier Zik, elles ont fini par convaincre et se retrouvent naturellement sur la nouvelle génération.Les commandes sont vraiment ultra réactive, et vraiment efficace. Une simple pression au centre de l’oreillette droite active le traditionnel play/pause et permet la prise et la fin d’un appel. On balaye de droite à gauche pour changer de morceau et de haut en bas pour modifier le volume, un jeu d’enfant ! Enfin la reconnaissance vocale s’active par une pression prolongée.
Le Zik 2.0 est également équipé de capteurs sur la partie haute de l’arceau qui détectent le contact du crane, ainsi la musique se met automatiquement en pause lorsque vous retirez le casque. Ceux-ci sont peut-être un poil trop sensibles et coupent quelques fois le son alors que vous étiez seulement en train de bâiller ou d’ouvrir la bouche pour avaler votre sandwich, ce qui peut s’avérer un peu énervant.
Un mode « contrôle du bruit » est proposé, qui permet bien sûr une réduction de bruit active modulable réellement performante, et une option « Street mode » permettant d’écouter sa musique tout en entendant très clairement les bruits ambiants de la rue, l’idéal pour payer son croissant sans retirer son casque.
Le second onglet de l’application nous envoie vers l’égaliseur, celui-ci est plutôt surprenant avec une égalisation continue qui se démarque des égalisations à crans plus traditionnelles. Il suffit de déplacer le petit disque orange présent au centre au gré de ses envies ou plutôt de ses préférences entre Vocal, Cristal, Club , Punchy, Deep ou Pop. On modifie également l’intensité de l’effet (wet/dry) en s’éloignant ou en se rapprochant du centre.
L’onglet suivant nommé « Concert Hall », permet une gestion de la réverbération vous faisant voyager (ou du moins vos oreilles) de l’ambiance d’un club de Jazz à celle d’une salle de concert , en passant par une chambre calme, le rendu est plutôt très bon et même quelques fois étonnant, donnant l’impression que le son vient réellement de la pièce et non du casque.
Une dernière page intègre un EQ paramétrique, appelé « mode producteur » qui permet au plus pointilleux d’entre nous de modifier toutes les textures en ajoutant plus de voix ou d’aigus par exemple, permettant réellement d’optimiser ses préférences sonores.
[title type=’2′ style=’regular’]Autonomie du Parrot Zik 2.0[/title] Avec son régime minceur, on pouvait s’attendre à une autonomie plus en retrait, c’est finalement le contraire puisque Parrot nous promet une autonomie de 18 h en mode filaire avec la réduction de bruit active. En Bluetooth la performance reste belle puisque qu’il permet 7 h d’écoute continue. [title type=’2′ style=’regular’]Performances sonores[/title] La qualité audio, comme sur la première version, est de qualité. Le son est peut être un peu dense, mais reste dynamique, les basses sont très précises sans être trop présentes et les voix parfaitement audibles. Les aigus se font plus discrets, mais restent précis, et comme indiqué un peu plus haut, l’application et son « mode producteur » permettent de faire les quelques réglages qui nous semblent nécessaires et donc d’adapter à notre goût le rendu sonore.
En terme de puissance, ce n’est pas le casque qui envoie le plus de décibels, mais elle reste cela dit largement suffisante notamment lorsqu’on active la réduction de bruit active. La distorsion se fait rare même lorsque le volume est poussé à son maximum ce qui est réellement confortable.
[title type=’2′ style=’regular’]Unboxing et présentation vidéo du Parrot Zik 2.0[/title]